Eros

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I am a multifaceted man.

I do not like being restricted by frames, boxes or limitations. Motivated by an unwavering curiosity and an insatiable desire to learn, I push my thinking and my actions in several dimensions: journalism, photography, writing, and grassroot involvement.

Thus, after having worked as a lawyer, I spent several years in the Senate as a chief of staff, working on migration, security, environment and agriculture. In parallel, dissatisfied with the quality of the media, friends and I have co-founded an online journal: Basta!. Centered around issues of social and environmental justice as well as issues related to conflict, Basta! is an investigative newspaper, financially independent, which does not respond to the frenzy of traditional media where a new story chases the other. As a journalist, I work primarily on issues of class neighborhoods and suburbs, violence and security, as well as crises and conflicts. This investigation and analysis work has led me to participate in some published books. Active at the grassroot level, I contributed to the creation of several organizations and I am involved in many others like Helsinky Citizens Assembly France.

I’m obsessed with the relationship between individuals and their environment. Those relationships, marked by social, ecological and political upheavals that strike our planet, affect people mobility and identity. This course and this obsession deeply irrigated another of my passions: photography. Day after day, street by street, in France as in the rest of the world, I carry both types of photography that I like the most: photojournalism and streetphotography. As a photojournalist, I witness the social upheavals in France andconflicts or crises in Mali, Palestine or Tunisia. As « streetphotographe » I try to capture dayly glimpse of beauty in day to day « common » action. I document daily life as a witness of the humanity. I share my workthrough photo-stories, presentation and social networks. I am well attended by 65,000 people on Instagram, 3,800 on Facebook and on Twitter 2,150.

Since 2015, I am also a Communication adviser. As such, I led 350.org communication during the COP21 in France.

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Je suis un homme qui touche à tout.

Je n’aime pas être restreint par des cadres, des cases ou par certaines limites. Motivé par une curiosité sans faille et une envie de savoir insatiable, je pousse ma réflexion et mes actions dans plusieurs dimensions : le journalisme, la photographie, l’écriture, l’engagement citoyen.

Ainsi, après avoir travaillé dans le droit en tant que juriste, j’ai passé plusieurs années au Sénat comme collaborateur parlementaire, travaillant sur les migrations, la sécurité, l’environnement et l’agriculture. En parallèle, insatisfait par la qualité des médias, des amis et moi-même avons co-fondé un journal en ligne: Basta!. Centré autour des questions de justice sociale et environnementale ainsi qu’autour des enjeux liés aux conflits, Basta! se veut un journal d’investigation, indépendant financièrement, qui ne répond pas à la frénésie des médias traditionnels pour qui une nouvelle actualité chasse l’autre. Baignant dans les cultures urbaines, je contribue également à Fumigène, magazine qui traite des identités urbaines et de l’interculturalité, en tant que directeur de la publication. En tant que journaliste, je travaille principalement sur les questions de banlieues et de quartiers populaires, de violences et de sécurité, ainsi que sur les crises et conflits. Ce travail d’enquête et d’analyse m’a conduit à participer à quelques ouvrages, notamment « 80 propositions qui ne coûtent pas 80 milliards« . Engagé dans la vie citoyenne, j’ai contribué à la création de plusieurs associations dont Accueil Banlieues et je continue à être investi au sein de Bibliothèque Sans Frontières et de l’Assemblée Européenne des Citoyens (HCA France).

Je suis passionné par les relations entre les individus et leur environnement. Ces relations, marquées par les bouleversements sociaux, écologiques et politiques qui frappent notre planète, influencent la mobilité et l’identité des personnes. Ce parcours et cette obsession ont profondément irrigué une autre de mes passions : la photographie. Jour après jour, rue après rue, en France comme dans le reste du monde, j’exerce les deux types de photographie que j’affectionne le plus : le photojournalisme et la streetphotographie. En tant que photojournaliste, je témoigne des bouleversements sociaux en France et des conflits ou crises au Mali, en Palestine ou en Tunisie. En tant que « streetphotographe », je tente de capturer des échantillons de beautés issues des actions « banales » du jour. Je documente le quotidien et témoigne de l’humanité des situations. Je partage mon travail à travers des photo-reportages, des expos et les réseaux sociaux. Je suis ainsi suivi par 65.000 personnes sur Instagram, 3.800 sur Facebook et 2.150 sur Twitter.

Depuis 2015, je suis également consultant en communication. A ce titre, j’ai mené la communication de 350.org pendant la COP21 en France.

Eros Sana au Forum Social Mondial à Dakar en 2011. Crédit Photo Maonghe Mbaitjongue.

Eros Sana au Forum Social Mondial à Dakar en 2011. Crédit Photo Maonghe Mbaitjongue.

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